Sur l’échafaud de l’aube
Pleins de doigts coupés
De diamants débordés, de collier fous
Et des rêves de pluies fines
Dehors, après le soupirail
C’est la fin du club
Un cœur léger plis tous les saxophones
Et les rires des sorciers ricochent sur les murs…
Sel, sel rugueux
Sous la bouche
La caricature de nos joies dans l’angle de la fenêtre
Un arbre de mélancolie
Devant lequel on prend racine
Et des chats de gouttière
Qui sortent de ma philosophie
Je l’ai vu pleurer là bas
Pendant un air de Bud Powel
Et c’est la nuit qui lèche ses blessures
Harmonica,
Harmonica de mort
Perle coutume sur l’écho du périphérique,
Voitures insouciantes
Pour gratter la peau du monde
Avec mon singe le plus tendre
Et voilà que l’alchimiste
Passe l’aspirateur dans l’herbe grasse
Tandis que le soleil luit dans les cymbales
La-haut la greffe de nuages s’éternise
Et je pleure des notes interdites
Interdites…
Pleins de doigts coupés
De diamants débordés, de collier fous
Et des rêves de pluies fines
Dehors, après le soupirail
C’est la fin du club
Un cœur léger plis tous les saxophones
Et les rires des sorciers ricochent sur les murs…
Sel, sel rugueux
Sous la bouche
La caricature de nos joies dans l’angle de la fenêtre
Un arbre de mélancolie
Devant lequel on prend racine
Et des chats de gouttière
Qui sortent de ma philosophie
Je l’ai vu pleurer là bas
Pendant un air de Bud Powel
Et c’est la nuit qui lèche ses blessures
Harmonica,
Harmonica de mort
Perle coutume sur l’écho du périphérique,
Voitures insouciantes
Pour gratter la peau du monde
Avec mon singe le plus tendre
Et voilà que l’alchimiste
Passe l’aspirateur dans l’herbe grasse
Tandis que le soleil luit dans les cymbales
La-haut la greffe de nuages s’éternise
Et je pleure des notes interdites
Interdites…